Liberté

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30 / 03 / 2015
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Liberté

Dès que pointe l’aurore, déjà il prend la route

Gaillard et sifflotant, il traverse les champs

Sans souci du soleil et sans souci des gouttes

De la pluie et du vent, il écoute les chants.

Des splendeurs de la plaine, il goûte l’étendue

Il gravit des montagnes, il arpente des bois

Oubliant la cité, sa jeunesse perdue

Dont il ne garde plus qu’un souvenir étroit.

D’une nouvelle vie, il trace le sillage

Avec la liberté, ses yeux se sont ouverts

Pour découvrir enfin, de la paix, les rivages

Retrouver des sourires, sans regards de travers

Marcher la tête haute, plus d’épaules ployées

Il dévore la vie, son cœur est mis à nu

Confiant en l’avenir malgré les inconnus

Dans l’océan des larmes, toute peine noyée.

Texte collectif – Poésie- avec la fin de Marité (en vert )

Dès que pointe l’aurore, déjà il prend la route

Gaillard et sifflotant, il traverse les champs

Sans souci du soleil et sans souci des gouttes

De la pluie et du vent, il écoute les chants.

Des splendeurs de la plaine, il goûte l’étendue

Il gravit des montagnes, il arpente des bois

Oubliant la cité, sa jeunesse perdue

Dont il ne garde plus qu’un souvenir étroit.

D’une nouvelle vie, il trace le sillage

Avec la liberté, ses yeux se sont ouverts

Pour découvrir enfin, de la paix, les rivages

C’en est fini pour lui de marcher de travers

mais il n’ira pas plus nuque, échine ployées.

Il va se redresser pour avancer tout nu,

sans regret du passé, sans peur des inconnus.

Sa folie a vécu, à tout jamais noyée.

Avec la Fin de Denise P.

Dès que pointe l’aurore, déjà il prend la route

Gaillard et sifflotant, il traverse les champs

Sans souci du soleil et sans souci des gouttes

De la pluie et du vent, il écoute les chants.

Des splendeurs de la plaine, il goûte l’étendue

Il gravit des montagnes, il arpente des bois

Oubliant la cité, sa jeunesse perdue

Dont il ne garde plus qu’un souvenir étroit.

D’une nouvelle vie, il trace le sillage

Vers les choses du monde ses yeux se sont ouverts

Il redécouvre enfin de la paix les visages

C’en est fini pour lui des chemins de travers

La jeunesse et ses joies seront vite employées

Pourtant le monde est et lui paraît bien nu

Tout lui semble hasardeux, tout lui semble inconnu

Comm’ la blonde Ophélie, son âme s’est noyée.

Avec la fin de Jean jacques L.

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