Eléonore d’Aurenac

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29 / 01 / 2013
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Consigne : Je lis son nom : Eléonore d’Aurenac

Il ne m’évoque rien du tout. Aucun souvenir. Certainement pas quelqu’un que je connais, ou même dont j’aurais entendu parler.

J’avais bien connu une Eléonore avec laquelle j’avais travaillé quelques années.

Je me souviens d’ un visage ouvert et de son beau sourire, de deux longues absences à quelques années d’intervalle, pour revenir à chaque fois maman d’un petit enfant Vietnamien.

Mais ce ne peut être d’elle dont il s’agit. Elle ne venait pas d’Aurenac, mais de Montargis.

Alors, Eléonore d’Aurenac, qui pouvait-elle bien être ? Avait-elle seulement existé ?

Je cherche dans mes lectures passées : Cyrano de Bergerac, oui ! Dans mes souvenirs d’Histoire encore, Henri IV et Ravaillac, oui ! Je m’égare sous la tempête dans les terribles Monts d’Aubrac… vais puiser dans la sagesse populaire, là où il n’y a pas l’feu au lac tant qu’on n’est pas pris la main dans l’sac, à me casser la tête sur une vieille fine de Cognac…

Eléonore d’Aurenac ? Non, rien à faire ! Rien qui ne m’évoque le moindre souvenir, le moindre indice me permettent de la raccrocher à quelque chose…

Eh bien, soit ! Elle restera auréolée de son mystère. A la consonance poétique de son nom , il s’agit, à n’en pas douter, d’une grande dame, venue, l’espace d’un moment, me faire rêver, m’emmener dans un ailleurs, hors l’espace et le temps…

15 janvier 2013 – ludotexes – Louis MANCY

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