La Mort d’Edgar
Décidément, Franz Bartelt donne un goût incomparable à mon été finissant. Dans la suite du « Bar des habitudes », il m’a été donné à lire un autre recueil des nouvelles de l’écrivain Ardennais. J’y ai trouvé, entre autres gourmandises, une peinture personnelle d’un certain rapport à cet « Art » que beaucoup qualifient de « contemporain », avec une émotion doucettement étranglée dans la voix.
Je vous laisse la chercher dans le recueil, la trouver, et la consommer sans modération.
Bruno
PS : j’ai rendu les deux ouvrages à la médiathèque.