Exutoire du soir, bonsoir
Exutoire du soir, bonsoir
Comme une fleur séchée
Un mental de déprimée
L’épistolaire n’a pas de frontières
Toujours présent dans la galère
Tellement minée mais habituée
Que l’injustice me fait saigner.
La justice est privilégiée aux enfoirés
Y’a pas de mystère, faut se taire.
La traversée de ce long fleuve m’a fait peur
Désormais dans la maison d’la peur
Faut pas jouer la terreur
Gentil (elle) n’a qu’un œil
Et ce du berceau au linceul
01 mars 2018 – Poésie – Giselle-K.