Faut vivre…
Faut vivre…
Même sans amis
Faut vivre ta vie
Moi je vis la mienne au fond d’une cellule
Orphelin entre deux États
Avec du mépris pour ma personne.
Avec du mépris pour moi, personne
Des larmes sans rides
Je suis solitaire
Préoccupé, perturbé
Sans moral j’ai plus d’envie
Des peines, de la peine
Et leurs effets
En résumé un peu lunatique, syndrome d’un bipolaire
Mes rêves me torturent
Le doute m’achève.
Besoin d’elle
Besoin d’air
Besoin de rêves
De ma Mère…
Novembre 2017 – Poésie – Ahmedi
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