Liberté
Liberté
Dès que pointe l’aurore, déjà il prend la route
Gaillard et sifflotant, il traverse les champs
Sans souci du soleil et sans souci des gouttes
De la pluie et du vent, il écoute les chants.
Des splendeurs de la plaine, il goûte l’étendue
Il gravit des montagnes, il arpente des bois
Oubliant la cité, sa jeunesse perdue
Dont il ne garde plus qu’un souvenir étroit.
D’une nouvelle vie, il trace le sillage
Avec la liberté, ses yeux se sont ouverts
Pour découvrir enfin, de la paix, les rivages
Retrouver des sourires, sans regards de travers
Marcher la tête haute, plus d’épaules ployées
Il dévore la vie, son cœur est mis à nu
Confiant en l’avenir malgré les inconnus
Dans l’océan des larmes, toute peine noyée.
Texte collectif – Poésie- avec la fin de Marité (en vert )
Dès que pointe l’aurore, déjà il prend la route
Gaillard et sifflotant, il traverse les champs
Sans souci du soleil et sans souci des gouttes
De la pluie et du vent, il écoute les chants.
Des splendeurs de la plaine, il goûte l’étendue
Il gravit des montagnes, il arpente des bois
Oubliant la cité, sa jeunesse perdue
Dont il ne garde plus qu’un souvenir étroit.
D’une nouvelle vie, il trace le sillage
Avec la liberté, ses yeux se sont ouverts
Pour découvrir enfin, de la paix, les rivages
C’en est fini pour lui de marcher de travers
mais il n’ira pas plus nuque, échine ployées.
Il va se redresser pour avancer tout nu,
sans regret du passé, sans peur des inconnus.
Sa folie a vécu, à tout jamais noyée.
Avec la Fin de Denise P.
Dès que pointe l’aurore, déjà il prend la route
Gaillard et sifflotant, il traverse les champs
Sans souci du soleil et sans souci des gouttes
De la pluie et du vent, il écoute les chants.
Des splendeurs de la plaine, il goûte l’étendue
Il gravit des montagnes, il arpente des bois
Oubliant la cité, sa jeunesse perdue
Dont il ne garde plus qu’un souvenir étroit.
D’une nouvelle vie, il trace le sillage
Vers les choses du monde ses yeux se sont ouverts
Il redécouvre enfin de la paix les visages
C’en est fini pour lui des chemins de travers
La jeunesse et ses joies seront vite employées
Pourtant le monde est et lui paraît bien nu
Tout lui semble hasardeux, tout lui semble inconnu
Comm’ la blonde Ophélie, son âme s’est noyée.
Avec la fin de Jean jacques L.