Premier et dernier essai d’acrostiche
Ma mie venez aux fêtes folles et de votre âme ne cachez rien,
Et surtout, mettez cette robe qui vous va si bien,
Moi, je resterai dans mon coin à vous admirer,
Ou je danserai avec vous, en vous écrasant les pieds,
Rapidement, vous comprendrez que je pèse cent dix kilos,
Il faudra, ma mie, faire attention au lumbago,
A la fin de la soirée, dépité, je vous déclamerai cet alexandrin qui est de moi,
Le pendu que le vent affole, dans le soir grince et tournoie..
5 octobre 2010. Ludotextes. Sylvie Antoniw