Touche à rien
Ma mie venez aux fêtes folles et de votre âme ne cachez rien,
Epanouissez vos monstrueux seins et puis sans y toucher
Montrez-nous la Sainte-Nitouche qui vraiment ne fout jamais rien
Ou bien égorgez vos maris cocus qui vous faisait scier
Ras les pieds, les bras de vos chers enfants et vous obligez
Illico, à siéger tous les soirs devant la cheminée
Avant d’acheminer les braises dehors au froid, pendant que
Le pendu, que le vent affole, dans le soir, grince et tournoie.
Jean-Michel « Accros’mouche » (05/10/2010) – Ludotextes-