Acroquelicot
Coquelicots de mai, fragiles dans le vent
Oh ! comme vos pétales, tendres, rouges et frêles
Quand finit le printemps, ornent nos champs de blé !
Une fillette, ici, riant sous son chapeau,
Étonnée, souriante, cueille la fleur légère
La caresse et la sent, admire son petit cœur
Imagine la robe d’une jolie danseuse
Cueille la fleur de sang, l’élève au ciel tout bleu
Offrant à la nature tous ses plus beaux mercis
Tant sa joie est immense devant pareil décor.
10 avril 2012 – Ludotextes & Poésie -Marie-Thérèse G.