Acrostiche aux Pieds nus
Ployez le dos, mortels, aux culs des ostensoirs
Il faut se prosterner car voici mardi soir
Et l’Écriture divine arrive sur son char
Dans le monde écrasé d’une terreur noire
Stylos, crayons, claviers chantent l’avènement
Naturel et terrible des mots et des tourments
Une clameur sourd des pageux, c’est le moment
Sublime et mortifère où l’on écrit… gaiement.
18 octobre 2011 – Ludotextes– Jean marie Tremblay