Il y a

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01 / 12 / 2015
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Il y a ce que l’on apprend et ce que l’on a sous les yeux.

Il y a ce que l’on vit, et ce que l’on ressent.

Il y a ce que l’on regarde, et que l’on voit ou pas.

Pas à pas, il y a des pensées : des ressentiments et des souvenirs. Un sentiment de mal et de bien être.

La tendresse suit la douleur, si t’as un cœur dans ton malheur.

Chaque chose aura son temps, car le temps aura toute chose.

Des choses de nous auront raison.

Des pensées pour des passions, sans dérision je pense mes plaies

Passé, Présent, participent à un futur composé ! Vocale détonation !

Je dresse un procès verbal !

À ces gens beaux qui portent des robes, qui font les juges mais se dérobent !

Jugé pour vol se victimise se dit victime.

Victime d’un vol, jugé futile !

Fut-il était , était un temps.

Être et paraître,

Vie disparate.

Ils disent paresse !

En guise de glaive l’amour de mes frères et les larmes d’une mère.

Merde à cette France qui laisse des glaires sur la vertu.

Ça me fait de la peine !

Le Code Pénal

Ce, en vertu !

De l’ébranlement ! De leur manquement !

Sussent-ils si bien quand fut-il fou !

Si et seulement si…

Je connais le barème en théorie, j’arme mon poème, je sors de mes gonds.

Pour que tu gamberges.

Quand t’es voilé de paradoxes, t’es immergé.

Perds la raison ?

Quoi qu’il passera !

Je prie parce que j’apprends, comme j’apprends que je suis pris.

On connaît souvent la valeur du prix

Mais quel est le prix de la valeur ?

Je m’exprime comme je peux.

Du lyrisme en bouquet de prose, un germe qui gerbe, un verbe que j’aime, un mot qui fâche.

La mort des lettres, la mort de l’Être, une mère, des larmes…

Des fils en deuil, un père qui part…

Des parts, tu perds…

Tu perds des terres

J’erre à des heures où le malheur sème la terreur avec erreur… ou bien seraient-ce les erreurs qui sèment le malheur dans la terreur ?

Ma certitude, c’est la douleur.

Avec l’idée que le devenir n’est que du « je suis l’évolutif »

Un chêne malade, sève infectée ne peut que mal s’enraciner.

Mes mots sont rédigés avec une âme en peine, sans destinée. Destin brisé das la souffrance…

Au fond du ‘une cellule je me libère ! D’un isolement de sentiments malgré la destruction de mes repères.

Il n’ y a que ce que tu vis et ce que l’on t’apprend. Apprendre le bon côté de la vie, ou en marche arrière le sens interdit.

La vie nous galvanise, les barreaux ça javellise, quand les loups tuent pour manger, les hommes exterminent pour spéculer.

Je me suis fait une petite idée, avec du pécule pour cantiner et un matricule sur mon dossier.

11197W pour méditer !

J’ai laissé du temps à mes pensées et dépenser des pensées pour passer le temps !

Octobre 2015 – Ahmedi

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